Titre : |
La Kahina [Texte imprimé] |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gisèle Halimi |
Editeur : |
Paris : Pocket |
Année de publication : |
2008 |
Collection : |
Presses pocket, ISSN 0244-6405 num. 13388 |
Importance : |
281 p. |
Présentation : |
carte, couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-266-17407-7 |
Prix : |
595.00 |
Note générale : |
Bibliogr., 8 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
960 Histoire générale de l'Afrique
|
Mots-clés : |
A lgérie : Histoire La Kahina : Histoire : Algérie |
Index. décimale : |
965 |
Résumé : |
" Mon grand-père paternel me racontait souvent, par bribes, l'épopée de la Kahina. Cette femme qui chevauchait à la tête de ses armées, les cheveux couleur de miel lui coulant jusqu'aux reins. Vêtue d'une tunique rouge - enfant, je l'imaginais ainsi -, d'une grande beauté, disent les historiens. (...) Devineresse, cette Pasionaria berbère tint en échec, pendant cinq années, les troupes de l'Arabe Hassan. " Ces quelques lignes sont extraites du Lait de l'oranger écrit en 1988, et qui continue mon récit autobiographique initié avec La cause des femmes. J'ai voulu clore ce cycle par la Kahina. Dans son contexte historique, je l'ai fait vivre, aimer, guerroyer, mourir. Comme mon père Edouard -le-Magnifique, l'aurait peut-être imaginée. La Kahina était-elle son ancêtre ? Peut-être. L'ai-je aimée en la faisant revivre ? Oui. Passionnément. Gisèle Halimi. |
La Kahina [Texte imprimé] [texte imprimé] / Gisèle Halimi . - Paris : Pocket, 2008 . - 281 p. : carte, couv. ill. en coul. ; 18 cm.. - ( Presses pocket, ISSN 0244-6405; 13388) . ISBN : 978-2-266-17407-7 : 595.00 Bibliogr., 8 p. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
960 Histoire générale de l'Afrique
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Mots-clés : |
A lgérie : Histoire La Kahina : Histoire : Algérie |
Index. décimale : |
965 |
Résumé : |
" Mon grand-père paternel me racontait souvent, par bribes, l'épopée de la Kahina. Cette femme qui chevauchait à la tête de ses armées, les cheveux couleur de miel lui coulant jusqu'aux reins. Vêtue d'une tunique rouge - enfant, je l'imaginais ainsi -, d'une grande beauté, disent les historiens. (...) Devineresse, cette Pasionaria berbère tint en échec, pendant cinq années, les troupes de l'Arabe Hassan. " Ces quelques lignes sont extraites du Lait de l'oranger écrit en 1988, et qui continue mon récit autobiographique initié avec La cause des femmes. J'ai voulu clore ce cycle par la Kahina. Dans son contexte historique, je l'ai fait vivre, aimer, guerroyer, mourir. Comme mon père Edouard -le-Magnifique, l'aurait peut-être imaginée. La Kahina était-elle son ancêtre ? Peut-être. L'ai-je aimée en la faisant revivre ? Oui. Passionnément. Gisèle Halimi. |
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