Catalogue de la Bibliothèque Centrale- Université de Bouira PMB
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Auteur Fondation internationale prix Balzan |
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Livres anciens, lectures vivantes [Texte imprimé] / Michel Zink
Titre : Livres anciens, lectures vivantes [Texte imprimé] : ce qui passe et ce qui demeure ; [contributions du colloque international de la Fondation Etudes littéraires de la France médiévale et l'Association Balzan] Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Zink ; Fondation internationale prix Balzan ; Odile Bombarde, Chorégraphe Editeur : Paris : O. Jacob Année de publication : 2010 Collection : Travaux du Collège de France, ISSN 1265-9835 Importance : 350 p. Présentation : ill. Format : 22 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7381-2491-3 Note générale : Colloque international tenu au Collège de France et à l'Académie des inscriptions et belles-lettres du 1er au 3 avril 2009. Préparé le 24 mai 2008 par une journée d'étude sur le thème "Rileggere il Medioevo" tenue au Palazzo Guerrieri Gonzaga à Villa Lagarina (Trentin), il avait primitivement pour titre "Lire un texte vieilli, du Moyen Age à nos jours".- Bibliogr. p. 340-341 Langues : Français (fre) Catégories : 3 Culture:3.40 Littérature:Littérature Index. décimale : 801.9 Résumé : Livres anciens, lectures vivantes « Lire un texte vieilli, c'est ce que fait tout lecteur dès lors qu'il lit autre chose que le journal du jour ou un roman de l'année. Dans tous les cas, la distance ainsi créée suffit à elle seule à en faire, quel qu'il soit, de la littérature. Cette distance est la première cause qui fait de la littérature une expérience du temps et un arrachement à soi-même. Pour mieux se retrouver. Plus le texte est ancien, plus le lecteur s'étonne et se réjouit d'être touché par lui, d'être en harmonie avec lui, de se reconnaître en lui. Il n'existe pas au monde de civilisation dont la littérature ne s'enracine dans des poèmes, des légendes, des récits, des mythes supposés issus du passé le plus reculé. Partout, la littérature se fonde sur des classiques et un canon qui ne retient par définition que des textes déjà vieux. Autrement dit, ce qui la définit, c'est la distance créée par le vieillissement du texte. Distance subie, car le texte ancien est difficile, mais aussi goûtée. » M. Zink Livres anciens, lectures vivantes [Texte imprimé] : ce qui passe et ce qui demeure ; [contributions du colloque international de la Fondation Etudes littéraires de la France médiévale et l'Association Balzan] [texte imprimé] / Michel Zink ; Fondation internationale prix Balzan ; Odile Bombarde, Chorégraphe . - Paris : O. Jacob, 2010 . - 350 p. : ill. ; 22 cm.. - (Travaux du Collège de France, ISSN 1265-9835) .
ISBN : 978-2-7381-2491-3
Colloque international tenu au Collège de France et à l'Académie des inscriptions et belles-lettres du 1er au 3 avril 2009. Préparé le 24 mai 2008 par une journée d'étude sur le thème "Rileggere il Medioevo" tenue au Palazzo Guerrieri Gonzaga à Villa Lagarina (Trentin), il avait primitivement pour titre "Lire un texte vieilli, du Moyen Age à nos jours".- Bibliogr. p. 340-341
Langues : Français (fre)
Catégories : 3 Culture:3.40 Littérature:Littérature Index. décimale : 801.9 Résumé : Livres anciens, lectures vivantes « Lire un texte vieilli, c'est ce que fait tout lecteur dès lors qu'il lit autre chose que le journal du jour ou un roman de l'année. Dans tous les cas, la distance ainsi créée suffit à elle seule à en faire, quel qu'il soit, de la littérature. Cette distance est la première cause qui fait de la littérature une expérience du temps et un arrachement à soi-même. Pour mieux se retrouver. Plus le texte est ancien, plus le lecteur s'étonne et se réjouit d'être touché par lui, d'être en harmonie avec lui, de se reconnaître en lui. Il n'existe pas au monde de civilisation dont la littérature ne s'enracine dans des poèmes, des légendes, des récits, des mythes supposés issus du passé le plus reculé. Partout, la littérature se fonde sur des classiques et un canon qui ne retient par définition que des textes déjà vieux. Autrement dit, ce qui la définit, c'est la distance créée par le vieillissement du texte. Distance subie, car le texte ancien est difficile, mais aussi goûtée. » M. Zink Exemplaires
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